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Comment sortir le monde musulman de la pauvreté ?

À l’époque où le prophète Mahomet a regroupé les adeptes de l’islam en une seule équipe économique et politique, les gens associaient leur source de revenus à leur peuple. L’achat, la vente et la production d’argent étaient principalement liés à l’idéologie selon laquelle la tribu devait prospérer et être contrôlée. Au fur et à mesure que l’islam prenait de l’importance, il était évident qu’il supplantait toute considération pour les demandes de diverses autres entités. L’Islam a fini par devenir la nouvelle norme de la tâche économique. Au fur et à mesure que les frontières du monde musulman s’élargissaient, sa puissance économique augmentait. Il a fini par devenir l’une des entités les plus efficaces de la planète.

À l’heure actuelle, les nations musulmanes vivent dans des conditions extrêmement difficiles. Bien qu’il existe une variété de poches d’abondance, la grande majorité d’entre elles ont du mal à nourrir leurs enfants ou à rénover les infrastructures nécessaires. Pourquoi en est-il ainsi ? Les raisons dépendent de la présomption de supériorité des nationalismes sur l’Islam. À l’époque de l’Islam, le concept de pays et de monnaie nationale n’existait pas. Au contraire, chaque ville était considérée comme un petit État qui vivait et opérait dans le collectif du monde musulman. À l’époque, cette idée était révolutionnaire et a entraîné de nombreux ajustements financiers. Le monde chrétien continuait à se chamailler et à se battre les uns contre les autres, ce qui augmentait la pression financière sur les économies locales. Ils ne pouvaient donc pas concurrencer efficacement les musulmans. Les musulmans disposaient d’une autorité centrale qui a fait de grands progrès pour réduire les querelles intérieures. Par conséquent, lorsqu’ils agissaient, ils pouvaient le faire de manière uniforme.

Aujourd’hui, la situation est inversée. Les nations riches d’Europe se sont unies en termes de traités financiers et aussi de coopération militaire. Les Nations unies, l’Union européenne et la ZLEA sont autant d’exemples de cette collaboration. Cet esprit d’interaction minimise leurs structures internes en faisant appel à l’une de ces grandes organisations pour arbitrer. Le monde musulman, à sa grande consternation, s’est en fait réduit à des querelles internes et à des « menaces » actives les uns envers les autres.

La seule façon d’inverser le mauvais sort des musulmans est de modifier toute notre méthode d’observation de l’organisation. Les principes islamiques d’équité, d’effort et d’effort collectif doivent progresser. Le concept de nationalisme doit être jugé obsolète et l’idée de l’unique « Ummah » (quartier) doit prendre sa place. En interagissant, les individus peuvent utiliser leurs richesses inexploitées en termes d’expertise et de gisements naturels pour développer quelque chose pour l’amélioration de tous. Des nations comme l’Arabie Saoudite, qui souhaitent une source de nourriture plus sûre, peuvent acheter les nations dont le sol est abondant mais qui ont peu de ressources financières. Les obstacles commerciaux entre les nations peuvent être réduits au minimum afin de garantir une circulation très facile des biens et de l’argent. Les dirigeants pourraient être tenus responsables de l’amélioration de la stabilité non seulement de leur nation mais aussi de celle de leurs voisins.

Fondamentalement, la promotion d’une monnaie musulmane particulière ainsi que d’un organisme gouvernemental est nécessaire si une réforme ciblée est susceptible d’avoir lieu. L’organe gouvernemental architectural serait certainement très semblable à celui de l’Union européenne, mais avec des rénovations islamiques substantielles. Les programmes personnels et nationaux n’auraient pas tout leur poids et les améliorations économiques ne seraient pas sujettes à la corruption. Il faudrait développer un contrôle intérieur qui permettrait de résoudre quelques-uns des problèmes qui fleurissent dans le monde musulman.

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